• Un repère pour la Nation

    La Tonnelle Cérémoniale de la Vérité et Réconciliation dans la Première Nation de Rolling River se dresse depuis des années, renforçant les liens intergénérationnels entre familles, amis et membres de la Nation.

  • Redéfinir la survie

    Les portes du dernier pensionnat indien se sont définitivement fermées il y a moins de 30 ans, en 1996. À ce moment-là, il était déjà beaucoup trop tard. Un nombre incalculable d’enfants Autochtones étaient passés par ce système, subissant des abus dans ces institutions pendant plus d’un siècle.

  • S’immerger aux côtés des ancêtres

    Une Quête de Vision est une exploration et un apprentissage des héritages spirituels et culturels transmis par les ancêtres Autochtones, enseignés par les détenteurs du savoir d’aujourd’hui. Ces expériences tissent ensemble les valeurs, traditions et cultures Autochtones, et offrent des occasions aux personnes de tous horizons d’apprendre, de travailler et de participer à des cérémonies.

  • Marcher ensemble vers l’avenir

    La réconciliation est un parcours qui exige que les peuples Autochtones et non Autochtones avancent ensemble sur un même chemin, en travaillant pour un avenir où les droits, les traditions et les cultures Autochtones sont également valorisés, célébrés et respectés.

  • Nous ne sommes pas des victimes

    Les femmes et les filles Autochtones sont la population la plus vulnérable au Canada. En raison d’un manque systémique de soutien, combiné à un traumatisme intergénérationnel, ils sont plus susceptibles de disparaître, plus susceptibles d’être la cible de crimes violents et plus susceptibles d’être exploités.

  • Esprits résilients

    Partout dans le monde, les pays sont aux prises avec une crise de santé mentale sans précédent et le Canada ne fait pas exception. Alors que nous nous efforçons de trouver des solutions, les communautés marginalisées passent à travers les brèches.

  • Parce que nous sommes

    Les stéréotypes nous diront que la pauvreté est causée par des facteurs sous le contrôle d’un individu, mais la réalité est beaucoup plus complexe. Les peuples Autochtones sont huit fois plus susceptibles d’être en situation d’itinérance en raison d’un cycle systémique d’oppression, de racisme et de discrimination.

  • Un changement directeur

    Le changement commence par une seule idée. Pour Marie Keeshig, membre de la Première Nation Neyaashiinigmiing en Ontario, son engagement à lutter contre la toxicomanie et l’itinérance chez les jeunes dans sa communauté a commencé après le décès de sa nièce d’une surdose de drogue.

  • Ensemble : notre voyage

    De nombreux peuples Autochtones ont été systématiquement déconnectés de la communauté, des traditions et de leur sentiment d’identité, ce qui a conduit à un nombre disproportionné d’incarcérations, aux prises avec des problèmes de toxicomanie, de santé mentale et de pauvreté.

  • Redéfinir le bien-être

    Le système canadien de protection de l’enfance sépare depuis longtemps les enfants Autochtones de leur communauté et de leur culture. Plus de 50% des enfants pris en charge au Canada sont Autochtones, bien qu’ils ne représentent que 7% de la population. Cela a créé une méfiance généralisée chez les peuples Autochtones.