• Gardiens de la terre

    La terre sous nos pieds a été parcourue par nos ancêtres pendant d’innombrables générations. Les graines ont été replantées, l’herbe s’est fanée et a repoussé, les saisons sont passées et les peuples Autochtones ont continué de protéger, de prendre soin et d’honorer leurs terres sacrées.

  • Créer une communauté

    Franchir les portes de l’université pour la première fois est une expérience intimidante. Essayer de créer une communauté dans un nouvel environnement, avec de nouveaux visages, tout en naviguant dans les études postsecondaires est difficile pour tout jeune adulte.

  • Enseigner fort

    De nombreux jeunes Autochtones sont en crise depuis trop longtemps, confrontés à des problèmes de santé mentale, à l’instabilité à la maison et à la toxicomanie, ce qui a entraîné la perte de trop de jeunes vies.

  • Retour à la terre

    De nombreux Autochtones vivant en milieu urbain du Canada sont déconnectés, privés de leurs droits et isolés de leur culture, de leur langue et de leur communauté. Bien que les organisations Autochtones soient actives dans les centres urbains, il est nécessaire de mettre en place des programmes qui amènent les peuples Autochtones hors de la ville pour offrir des expériences de guérison sur le territoire.

  • Tourner la page

    La tradition orale fait partie intégrante de la culture autochtone depuis des générations. Pourtant, l’un des effets moins connus du système des pensionnats et des externats est que ceux qui ont survécu ont reçu très peu d’éducation véritable.

  • Briser les cycles, bâtir un chez-soi

    Toute personne mérite le droit à un chez-soi, à la santé et au bonheur. Il s’agit d’un enseignement sacré pratiqué par les nations autochtones le long de la côte de l’île de Vancouver. Malgré cette croyance fondamentale, les traumatismes intergénérationnels vécus par les familles autochtones après des siècles de colonisation ont mené à une crise d’itinérance omniprésente.

  • Pour ceux qui ont persévéré

    Dans les cultures autochtones, les aînés sont des conseillers communautaires, des gardiens du savoir, des conseillers culturels et des leaders spirituels. Ils sont des membres estimés de la communauté, mais ils constituent le groupe le plus vulnérable dans la crise du vieillissement de la population canadienne.

  • Le centre de santé Kwakiutl soutient la guérison par la culture et le lien

    Le peuple Kwakiutl est confronté à une crise de santé mentale et à un manque de soins d'intervention de crise à court terme dans sa communauté sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique. En réponse, ils se sont rassemblés et allient les modes traditionnels kwakiutl aux approches modernes pour créer des programmes et des services qui protègent et valorisent leur communauté au centre de santé Kwakiutl.

  • Sauvegarder et revitaliser la langue heiltsuk

    Pendant 14 000 ans, la langue heiltsuk (Haíɫzaqvḷa) a été une pierre angulaire de l'identité, de la culture et du mode de vie autochtones sur le territoire heiltsuk, sur la côte centrale de la Colombie-Britannique. Malgré ses racines profondes, comme de nombreuses langues autochtones, elle a connu une forte baisse du nombre de locuteurs couramment.

  • Guérison et liens culturels au Jardin de guérison Mashkwa

    À l'instar des autres peuples autochtones, les Métis ont subi les politiques coloniales qui visaient à rompre les liens culturels et à les déposséder de leurs terres. Cette déconnexion a contribué à un traumatisme intergénérationnel et à une détérioration du bien-être de plus de 8 000 Métis et de leurs familles. Pour beaucoup, l'accès à leur culture traditionnelle ou à un sentiment d'appartenance s'est limité aux services offerts par des organismes urbains ou des groupes communautaires.